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mercredi 06 mai 2009

Commentaires

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Morris ou pas pas Morris, cette "chose" est vraiment une incongruité. Elle casse une perspective que je trouvais interéssante. Dommage que les citoyens/riverains ne soient pas consultés en de telles situations. A quoi servent alors les conseils de quartiers ?
Comme si la ville, et en particulier la rue de Rivoli manquait de supports de pub.

Je suis tout à fait d'accord avec Nizar. La colonne gâche tout le "paysage" maintenant.

Mais quel esprit malin (à entendre "malveillant") a pu prendre la décision saugrenue de placer cette chose en plein milieu ? (à moins qu'il ne s'agisse d'un modem, ni trop à droite, ni trop à gauche !)
Plus sérieusement, que peut-on faire pour y remédier, à savoir déplacer la colonne et pourquoi pas remettre la petite sculpture/totem représentant la "fraternité" me semble-t-il ???

Remettre la petite sculpture/totem ?? Arrête ! Tu vas leur donner de mauvaise idée (remarque ils n'ont pas besoin de toi pour ça, ils s'en chargent très bien eux-même) mais ce totem était encore plus moche ! Seul avantage : il était moins imposant que cette colonne !

Si encore elle avait été consacrée à l'affichage associatif, pour lequel il n'existe pratiquement pas d'espace légal dans notre quartier...

Je préfére, et de loin, la petite sculpture à cette colonne symbole d'adoration et de soumission à JC Decaux.
Je m'étonne même que la mairie n'ait pas encore pensé à installer une station vélib sur la place!!!

Je ne pensais pas que cet article sur la colonne Morris susciterait un tel débat. Pour ceux qui veulent se rafraîchir la mémoire, j'avais écrit un article le 10 décembre 2008 à propos de ce "totem" consacré aux droits de l'Homme : http://lindependantdu4e.typepad.fr/arrondissement_de_paris/2008/12/60e-anniversair.html

Cet objet en bois avait l'avantage d'être moins massif que la colonne Morris et il louait l'unité du genre humain. Il était ludique et pédagogique. Une belle idée qui n'a pas résisté aux impératifs qui semblent être ceux qui gèrent les espaces publicitaires dans Paris. Nizar a raison de rappeler que J.-C. Decaux récupère les frais dûs à la mise en place de Vélib' grâce à ces espaces publicitaires. Il faudrait vérifier si les colonnes Morris font aussi partie des contreparties de ce contrat.

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