Voilà un carrefour où depuis un peu plus d'un mois, on peut voir des situations fort périlleuses. Le carrefour entre le pont Louis-Philippe, la rue du même nom et le quai de l'Hôtel de Ville.
En effet, depuis, cet été, un feu a été installé sur les quais juste en bas de la rampe à laquelle accèdent les voitures qui viennent du quai haut. Comme le feu est immédiatement au pied de la rampe d'accès :
Très régulièrement, les voitures qui veulent l'emprunter et qui sont trop nombreuses se retrouvent coincées en plein milieu du carrefour. De ce fait, les voitures qui viennent du pont-Louis-Philippe ou qui veulent prendre ce pont se trouvent dans l'impossibilité de circuler. Sur la photographie, ci-dessous on voit que même le nouveau roi du bitûme parisien, sa majesté le cycliste, doit faire une opération compliquée de contournement des voitures pour aller tout droit :
Bref, c'est un joyeux bazar. Il faudrait donc voir à trouver des solutions avant qu'il n'y ait un accident... On peut par exemple envisager de mieux coordonner les feux, déplacer le feu tricolore sur le quai bas et/ou faire un marquage au sol invitant les voitures à ne pas stationner en plein milieu du carrefour.
Le marquage au sol interdisant le stationnement des voitures en plein carrefour serait une bonne solution si les automobilistes le respectaient ! Les encombrements à l'intersection de la rue des Archives et de la rue de Rivoli démontrent qu'il n'en est rien.
Rédigé par : Olivier | mercredi 24 octobre 2012 à 11h45
Ce qui aurait été intelligent, c'est que la municipalité connaisse son arrondissement. De ce fait, elle aurait tout de suite su que ce feu en contrebas aurait causé de nombreux embouteillages .. A bon entendeur!
Rédigé par : Aurélie | jeudi 25 octobre 2012 à 14h14
Je prends le pari qu'ils étaient parfaitement conscients sachant que l'objectif final est d'enquiquiner le maximum d'automobilistes afin de les "dégoûter" d'utiliser la voiture dans Paris voire de venir à Paris. Nos amis gauchos ont un "pouvoir" et ils en usent et abusent au nom de leur nouvelle religion: l'écologie.
Il serait amusant de compter les feux de signalisation crées à Paris depuis 2001.
Le paradoxe est qu'à force de multiplier les feux ils engendrent davantage de pollution.
Que dire par exemple des 3 feux pour rejoindre le quai des Célestins quand on arrive de Saint-Paul: un premier pour laisser passer les voitures qui viennent de la rue de l'Hôtel de ville (5 peut-être 6 voitures par jour; un "stop" ou une priorité suffirait amplement), un deuxième (légitime!) à 3 mètres du premier, au niveau du Quai des Célestins, et surtout un troisième quand on veut tourner à gauche. Et pour combien de piétons qui traversent à cet endroit par jour ????
Nizar Bensalem
Rédigé par : Nizar Bensalem | vendredi 26 octobre 2012 à 16h05