Voici le 5e volet de ma série consacrée aux "anges" du 4e arrondissement. Ci-dessus, une photo prise au 17 de la rue Rambuteau. Entre la rue des Archives et la rue du Temple, le décor de cette rue date pour l'essentiel de la Monarchie de Juillet (1830-1848).
Ces anges qui décorent le fronton situé au-dessus du portail ne vérifie pas l'adage selon lequel "les anges n'ont pas de sexe". Ici il est bien sûr impossible de nier leur féminité... Malgré cela, je n'ai jamais entendu dire "une ange".
Tout cela pour dire que j'ai été un peu intrigué par le procès en sorcellerie fait à Vincent Roger à la fin du conseil d'arrondissement du 1er juillet 2008. En effet, celui-ci à l'habitude de dire "Madame le maire". J'en ai parlé avec lui... (Vincent Roger est un ami et il sait combien mon amitié peut être critique et exigeante). Il m'a expliqué que dire "Madame le maire" est son habitude car il considère que la fonction de maire est neutre. Ce qui ne préjuge pas du sexe de celui qui la détient.
Je suis un peu surpris que, sur le banc placé derrière moi, un agité de gauche, se soit laisser à dire "quel con" à plusieurs reprises à propos de Vincent Riger quand celui-ci justifiait son point de vue. J'en ai vraiment assez de ces nouveaux "khmers rouges" qui sont intolérants avec quiconque affirme une opinion différente de la leur. -Je n'affirme pas, bien sûr, que c'est le cas de toute la gauche : il existe heureusement à gauche des personnes tolérantes avec ceux qui ne sont pas d'accord avec eux et qui comprennent que c'est tout l'intérêt de la démocratie.-
Vincent Roger est, je l'ai dit plus haut, un ami (je vais encore subir l'opprobe d'être un blog UMP... je prends des risques). Je pense assez bien le connaître et je ne l'ai jamais entendu dire la moindre remarque misogyne. Ce n'est pas le cas de nombreux hommes politiques... et pas seulement à droite !
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