Le 12 mai 2014, les élus du 4e arrondissement ont voté un voeu à l'unanimité pour demander la libération des 200 lycéennes retenues en otage au Nigéria depuis le 14 avril 2014.
Sur la place de l'Hôtel de Ville, un cube a été mis en place dans le même but. On ne peut bien sûr qu'être en total accord avec cet appel à la mobilisation. Il faut dénoncer la barbarie de ceux qui considèrent les femmes comme des marchandises.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.