Voici une plaque que l'on remarque à peine. D'ailleurs elle a l'air d'avoir un peu souffert des épreuves du temps. On peut la voir à l'angle entre le quai des Célestins et la rue des Jardins Saint-Paul.
La plaque est très approximative concernant l'emplacement de la maison où est mort le grand écrivain français de la Renaissance. Il a dans ses écrits montré une virtuosité créatrice au service du grand élan de la pensée humaniste caractéristique de la première moitié du XVIe siècle avant les temps plus sombres des guerres de religion de la 2e moitié de ce siècle.
Dans un de ses romans, Pantagruel écrit en 1532, François Rabelais évoque l'enceinte de Philippe Auguste qu'il pouvait voir depuis la fenêtre de sa demeure parisienne : "Voyez cy ces belles murailles. O que fortes sont et bien en point pour garder les oisons en mue. Par ma barbe, une vache avec un pet en abatroit plus de six brasses."
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